Nous avons un problème avec le choix de l'outil d'évaluation que nous choisirons. La question de l'outil d'évaluation se pose et trouve des réponses multiples, pas toujours satisfaisantes et appelant à une réflexion de fond. Cela fait partie des questions que je souhaite poser aux établissements qui évaluent par compétences.

Rebonds 9

Nous avons pas mal tâtonné au départ sur la question de cet outil. On avait travaillé avec nexev, qui avait été conçu spécialement pour l'évaluation des compétences, mais qui avait une interface un peu compliquée. Cet outil était intéressant car il permettait de décliner le référentiel par niveau et de créer des évaluations auxquelles on pouvait associer des compétences. Ce mouvement d'association nous semblait intéressant pour aider les collègues à dépasser l'idée de « Faire des croix ».

Finalement, nous sommes revenus tout simplement à Pronotes, qui est basé sur le même fonctionnement d'association. Et on a un outil unique pour les notes et les compétences. La bascule sur le LPC est possible.

Ceci dit, une fois que la question de l'outil sera réglée, rien d'autre ne le sera, si on n'a pas enclenché une réflexion avec les équipes sur la construction des compétences dans les pratiques de classe.

Bonjour 

Pour la bascule sur le LPC, SACoche le permet aussi ... 

Pourquoi maintenir les notes, si vous évaluez par compétences ? 

denis chodkowski enseignant, le 14 Juin 2015 à 14:55

Le Cardie de Lyon travaille avec un « groupe de développement » autour du travail par compétences et de l’évaluation des compétences. Nous avons eu une demi-journée de travail sur l’étude des outils numériques qui aident à la gestion du travail par compétences — sans parler de l’évaluation, puis de la validation... Pour nous, 2 logiciels semblent avoir chacun des points forts : SACoche et Pronotes.

C’est ce qui ressort aussi des recherches que nous avons faites. Nous n’avons jamais entendu parler de nexev.

Même si ce n’est qu’un « détail » au vu du travail qu’il s’agit de mener afin de faire évoluer les pratiques enseignantes autour d’une véritable réflexion collective, c’est tout de même un détail qui a son importance. Nous avions pensé à construire notre propre outil interne à partir d’un document Excel, car dans notre établissement nous fonctionnons avec Sconet uniquement.

Nous avons commencé à partager les pratiques d’évaluation positive, et même à partager tout court ce que chacun met derrière le mot « évaluer ». Cet échange a pris place spontanément lors de notre travail sur le projet d’établissement. La nécessité d’échanger et de faire connaissance a vite vaincu les pudeurs, mais sans doute parce que les personnes autour de la table sont motivées. D’ici cet été plusieurs réunions de travail auront lieu sur la construction des compétences et de leur évaluation. Un programme sans doute chargé et à construire au fur et à mesure...

Bonjour,

je vous propose de rajouter à vore liste un autre outil: www.preps.fr.

je suis enseignant en mathématiques, et mon équipe disciplinaire avait créé il y a quelques années un suivi de compétences sous excel. Je peux affirmer que cette solution est une impasse, car ses limites sont très vite atteintes (conflit d’accès entre utilisateurs, sécurité et confidentialité des informations stockées).

Nous n’étions cependant satisfaits ni des fonctionnalités de pronote (trop éloigné d’une approche par compétences), ni de l’ergonomie de Sacoche (trop éloignés des standards actuels de l’ergonomie en informatique).Par ailleurs, un point qui me paraissait essentiel est que l’évaluation doit pouvoir être définie au niveau du secteur de collège, en intégrant les écoles primaires (et le nouveau cycle 3 semble d’ailleurs me donner raison). L’outil doit pouvoir non seulement être utilisé au collège et au primaire (ce qui n’est pas le cas de pronote), mais doit intégrer la notion de secteur pour favoriser la collaboration entre toutes ses écoles.Enfin, pour sortir de la question avec notes/sans notes, l’outil doit gérer compétences et notes dans un même environnement et sur un même bulletin.

Des informaticiens de métier nous ont donc créé un site, www.preps.fr , en fonction depuis maintenant 3 ans, qui après une phase de tests est proposé aux établissements du primaire et du secondaire. Actuellement, ce site gère:

- 19 classes au collège Pons Perpignan depuis 3 ans (7 classes coopératives sans notes en 6ème, 6 classes sans notes en 5ème, 5 classes avec notes en 4ème)

 

- 6 classes au collège Pagnol de perpignan depuis 1 an (toutes les 6èmes sans notes, et à priori toutes les 5èmes l’an prochain)

- 3 classes au collège Les Bruneaux de Firminy depuis un an (toutes les 6èmes sans notes)- 1 classe de 6ème sans notes au collège Jean Moulin de Perpignan

- 250 classes du primaire de la circonscription Perpignan 2 (secteurs des collèges Pagnol et Pons).

 

Preuve de l’ergonomie, à ma connaissance, aucune formation sur l’outil n’a eu lieu dans ces établissements (au primaire 3 h de formation en distanciel ont concerné une trentaine d’enseignants, et ont consisté à consulter les tutoriels en ligne du site): le temps ainsi gagné permet de se concentrer sur l’essentiel: l’évaluation des compétences.

Le projet sur le secteur du collège Pons fait l’objet d’une fiche sur viaeduc (le secteur de collège comme établissement logique de suivi des compétences - necessite une connexion à viaeduc- ou une version plus ancienne sur keyconet france). Les autres collèges sont plus discrets, mais vous pouvez les contacter, ou me contacter (admpreps@preps.fr).

Afin de diffuser notre projet, nous recherchons dans les académies autres que Montpellier des établissements pilotes.

Philippe Taddei Enseignant, Dirigeant de Preps Compétences, le 17 Mai 2015 à 22:23

En effet il y a actuellement deux logiciels qui ont tous les deux des avantages et des inconvénients, mais aucun des deux ne correspond tout à fait à ce pour quoi nous nous sommes engagés au collège Lou Redounet cette année. A savoir après avoir suspendu l’expérimentation des classes ans notes poursuivie pendant 3 ans, la généralisation de l’évaluation par compétences depuis la 6e. Le problème est que le référentiel du socle (en attendant son toilettage qu’on nous promet pour le printemps) ne correspond que très imparfaitement au programme que les professeurs sont aussi censés enseigner. Sacoche permet bien aux professeurs d’entrer leur référentiel et de le coordonner aux items du socle, mais tout le monde n’est pas prêt à se familiariser avec un logiciel aussi peu convivial. Et Pronote est d’une rigidité totale en ce qui concerne les compétences. Mais les professeurs ont l’habitude de s’en servir. Nous avons donc opté pour ce dernier, mais ce n’est pas un outil adapté pour l’enseignement par compétence. Il conviendrait maintenant de concevoir un logiciel qui offre les fonctionnalités de Sacoche et la convivialité de Pronote. Nous avons sollicité Index Education pour cela. Mais il faudrait qu’il y ait d’autres établissements qui le fassent aussi pour convaincre cette entreprise que cela vaut la peine d’investir dans ce développement.

Bonjour

Vous dites que SACoche n'est pas convivial. Qu'entendez vous par là ? Depuis 6 ans, je ne mets plus de notes dans mes devoirs, de la 6eme à la 3eme, et j'utilise exclusivement SACoche. Certes, c'est un soft développé par un prof de math et je suis aussi prof de math.  Donc peut être que la structure est facilement compréhensible pour moi.

Avez vous contacté Thoams Crespin, le concepteur ? Avez-vous émis vos souhaits sur la liste de diffusion. Je trouve assez surprenant de vouloir donner des sous à une boite comme index éducation, alors que gratuitement on peux avoir mieux à côté !!!

denis chodkowski enseignant, le 14 Juin 2015 à 14:53

Bonjour

J’ai suivi avec intérêt vos questionnements sur l’usage d’un outil appliqué aux évaluations par compétences. De notre côté nous utilisons depuis déjà trois années le logiciel 123 Soleil (sur les niveaux sixième et cinquième). Cet outil permet d’une part d’éditer un bulletin et d’autre part de suivre les acquisitions des élèves. Contrairement à Sacoche, il n’existe pas d’algorithme intégré à l’outil et aucun lien n’est prévu avec le LPC. Les établissements définissent donc leurs propres référentiels transversales et disciplinaires. Une méthodologie simple a été crée pour les seuils d’acquisition. C’est aussi un outil conçu pour une évaluation non chiffrée, c'est-à-dire en acquisition.  Aujourd’hui les professeurs sont satisfaits de l’ergonomie de l’outil ainsi que de son interface mais ils souhaiteraient que l’outil soit accessible en externe car  pour le moment il fonctionne uniquement en intranet. Nous sommes actuellement deux établissements grenoblois à l’utiliser. Face à la demande croissante, le développeur s’est engagé à concevoir un outil en internet. Il s’agit d’un logiciel privé conçu à partir d’une méthodologie interne au collège Jules Vallès à laquelle les parents d’élèves ont participé. Je vous joins le lien du site 123 Soleil sur lequel vous trouverez des copies d’écran ( qui ne rendent pas bien compte du bulletin car pas très nettes) ainsi que la méthodologie du bulletin.

http://123soleil-education.fr/produits

Pour info :

SACoche gère aussi les bulletins

denis chodkowski enseignant, le 14 Juin 2015 à 14:57

Alors vous nous parlez de : nexev, sacoche, pronote, 1 2 3 soleil.

Qui dit mieux?

Merci pour vos réponses, en tous les cas! Voici quelques pistes à explorer et du travail en perspective pour notre point Ac@r, sans compter une décision à prendre...

Encore merci!

Cathy Marret et Marie Cardelli

 

 

Le débat que vous avez, je l'ai eu depuis quelques mois avec mon mari et son frère, qui ont développé, dans leur société d'informatique,  un logiciel d'ENT. Du coup, on a beaucoup discuté de fonctionnalités avancées comme la possibilité de faire des exercices en ligne, (des QCM, des exercices à trous...) ou encore  de faire des statistiques de toutes sortes en plus des fonctionnalités typiques d'un ENT.  Concernant les compétences, on peut soit utiliser un formulaire type, soit créer ses compétences propres. Ce qui convient tout particulièrement aux classes sans notes. Personnellement,  je trouve les   fonctionnalités très avancées. 

Leur campagne de test vient d'être lancée, si certains d'entre vous veulent le tester voici le site  ou on peut les contacter pour tester le produit qui s'appelle mingus et en voir les fonctionnalités.

 

Bonjour,

 

Voilà deux outils :

VÉRAC est un logiciel de gestion d'un établissement scolaire dans le cadre d'une évaluation par compétences. Il peut aussi être utilisé par un prof seul (version "perso").Il est développé pour le projet compétences et estime de soi du collège Léo DROUYN (situé à VÉRAC, en Gironde), projet qui a reçu le prix de l’École lors des journées de l’innovation 2013.Le logiciel VÉRAC permet :- d'évaluer des compétences- d'assurer le suivi des élèves- de mutualiser les évaluations d'une équipe

Il est composé de 3 parties :    une interface de gestion et saisie des évaluations par les professeurs    une interface d'administration    une interface de consultation en ligne pour les élèves et leurs parents.

Les points forts de VÉRAC sont :    une saisie rapide des évaluations    une grande liberté pour le professeur dans l'organisation de ses évaluations    la gestion des évaluations communes à plusieurs profs et la fabrication de bulletins.

VÉRAC est un logiciel :    libre (licence GNU GPL 3)    multiplateforme    gratuit.

Le site Web : http://verac.tuxfamily.org/pmwiki/pmwiki.php

NExEv, un nouvel outil pour évaluer les compétences

NExEv est un logiciel libre sous licence GPL accompagnant les enseignants dans l'évaluation par compétences. Il s'installe et se configure une fois sur un serveur puis est partagé sur tous les postes connectés en réseau à ce serveur, sans installation supplémentaire. Développé depuis 2004 pour des utilisateurs investis dans ce genre d'évaluation, de l'école primaire au lycée.Si l'Éducation nationale fournit depuis l'année scolaire 2010-2011 l'application LPC2 pour évaluer le socle de manière certificative, de nombreux enseignants procèdent à des évaluations intermédiaires, formatives, afin de suivre la progression d'un élève pour une compétence donnée ou encore détecter des besoins de formation dans une classe, par exemple en vue d'organiser de l'accompagnement personnalisé. C'est précisément ce pour quoi NExEv est conçu.En savoir plus sur La revue L'Ecole numériquehttp://www.cndp.fr/ecolenumerique/tous-les-numeros/boite-a-outices/vie-s...

Le site Web : http://www.nexev.org/

Merci pour toutes ces informations précieuses.

Nous avons opté pour Sacoche à Lou Vignares, Vaucluse, pour nos deux classes de sixièmes sans notes. Le logiciel a été installé par le professeur TICE de l'établissement sur notre ENT. Nous avons -ensemble- tatonné pour apprendre à l'utiliser. Et nous en sommes plutôt contents, même si nous sommes encore à en découvrir toutes les fonctionnalités et surtout toutes les perspectives pédagogiques que cela implique.

Il y a cependant une question qui revient souvent de la part des équipes de ces deux classes. Quand l' Etat, qui après avoir voté en 2005, une loi pour mettre en place un Socle Commun et qui  a proposé un outil de validation / certification, le LPC, proposera-t-il enfin un outil officiel  d'évaluation formative? Ce que je constate, derrière cette question récurrente, c'est le besoin de sentir que ce que nous faisons est légitime et reconnu par l'institution. Tous les enseignants n'ont pas forcément envie d'être des pionniers, précurseurs, avec prises de risque à la clef. Ils ont simplement besoin de pouvoir faire leur travail dans des conditions optimales mises en place par un Etat pour lequel ils travaillent. L'autre question, son corolaire en fait, concerne le nouveau DNB. Quelle harmonisation avec le LPC? Quelles épreuves? Quelle forme d'évaluation? Des réponses en cohérence avec les discours sont attendues avec anxiété -je n'ose pas dire espoir- de toute la réflexion nationale sur de nouvelles  formes d'évaluation qui soient vraiment au service des apprentissages des élèves...

 

 

Cathy Marret Personnel de direction, le 28 Décembre 2014 à 12:47

Pour réagir au post de cathy Marret :

Je pense que vous avez fait le bon choix. N'oubliez pas de vous inscrire sur la liste de diffusion de SACoche. Il y a une communauté très active et une très grande réactivité du concepteur.

Je ne pense pas qu'il y aura un jour un outil officiel de suivi des acquisitions de compétences. Lors d'échanges privé avec des personnes bien informées, on me l'a même affirmé. 

Et je pense que c'est bien. Quand on voit la façon dont le LPC, SCONET et autres logiciels officiels sont développé , cela fait peur en terme d'ergonomie et de fiabilité...

denis chodkowski enseignant, le 14 Juin 2015 à 15:10

Bonjour, 

Je suis étonnée que personne ne se pose la question du contenu du référentiel de compétences. 

Le fait même que Sacoche permette de créer un référentiel de compétences de A à Z n'est-il pas problématique aux yeux des Chefs d'Etablissement ? Comment en garantir la légitimité, la cohérence avec les référentiels officiels ? Etes-vous certains de la compétences de vos personnels pour produire un référentiel de "compétences" cohérent avec le LPC ? 

Merci de vos réponses.

Je suis, moi, un peu étonnée de la formulation de la question : elle traduit une méfiance vis à vis des enseignants et une mise en doute de leur professionnalité qui me semblent bien gênantes. Que l'on constate que des enseignants peuvent avoir des difficultés à mettre en place de A à Z un outil, que cela est lourd pour eux, cela est évoqué dans les messages précédents, et la demande est claire d'outils "officiels" pour cela. Mais introduire ici une question de "garantie" de légitimité ... alors pourquoi pas demander aussi ce qui "garantit" qu'un enseignant respecte un programme, qu'il corrige "comme il faut ses copies, etc. Je ne dis pas que les enseignants doivent travailler sans aucun "contrôle" (je pense que la meilleure forme en serait le travail collectif, des enseignants et AVEC les chefs d'établissements et inspecteurs), mais la méfiance évoquée ici me semble un bien mauvais point de départ.

 

Françoise Colsaet enseignante, le 1 Juin 2015 à 11:17

Bonjour 

Moi aussi, je suis étonné de la formulation.  Nous sommes des enseignants et en tant que tels nous sommes formés pour traduire les programmes et les mettre en oeuvre dans nos cours, dans nos exercices, dans nos devoirs.

Si le programme me dit que je dois apprendre la division des fractions avec mes 4eme, je suis capable de le traduire en cours, en exercices, en devoir et donc en item de référentiel !!! 

Nous sommes des professionnels !!! Non ? 

Soit dit en passant, ceux qui ont pondu le LPC ne sont pas (pour la majorité) des enseignants (en activité) ...

denis chodkowski enseignant, le 14 Juin 2015 à 15:04

Bonjour, 

Je vous prie de bien vouloir excuser la formulation  maladroite de ma dernière question. Je ne voulais agresser personne, ni mettre en cause le professionnalisme de qui que ce soit.

Mon interrogation, en fait, émane de la diversité de contenu et de forme des référentiels élaborés par les utilisateurs de Sacoche. Cette grande variété me questionne et m'effraie. Je reformule plus précisément : Comment fait-on lors de la certification du LPC en fin de 3e pour faire le lien entre ces items (souvent bien plus nombreux que ceux du LPC, avec des formulations personnelles, etc.) et les items "officiels" ? Comment s'approprier ces référentiels particuliers lorsque l'on arrive dans un établissement et que l'on n'a pas participé à leur élaboration, voire que l'on travaillait avec un autre référentiel ? Autrement dit, c'est la question de la continuité  des référentiels que je pose, que ce soit d'un point de vue administratif et officiel ainsi qu'entre collègues. 

Par ailleurs, créer un référentiel est-il nécessaire alors qu'il existe déjà celui du LPC qui fait le lien entre tout le monde, aussi imparfait soit-il ? De ce fait, la reformulation des items ne serait-elle pas plutôt une façon de poser des critères, des seuils d'acquisition en fonction de l'évaluation ou du travail effectué selon les classes ? 

Pour ma part, en outre, je me sens parfaitement incapable d'écrire, de reformuler, de traduire des items de compétences, d'être exhaustive afin d'établir un référentiel et d'être, en plus, totalement cohérente avec le LPC et les textes officiels, et en accord avec mes collègues de surcroît... Cela relève-t-il de notre fonction, du reste ? Je craindrais également que cela n'ouvre vers une sorte de fourre-tout où chacun viendrait ajouter sa touche et que, en définitive, ce référentiel n'en soit plus un par sa trop grande diversité et par son aspect trop "personnalisable" qui n'en ferait plus un outil "commun" et partagé... 

Parmi vous, certains ont-ils élaboré des référentiels "personnalisés" ? De quelle façon ? Comment les lier au LPC ? Comment en faire des outils partagés par l'ensemble d'une équipe de professeurs d'un établissement ? Pour quelles raisons Sacoche est-il proposé sans référentiel ? 

Merci de vos réponses. 

Lucile Martin Enseignante/Formatrice, le 14 Juin 2015 à 18:21
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