Pour ceux qui avaient un doute, c’est bien mes 20 ans que l’on fête aujourd’hui.
20 ans que je suis au CRAP ! Avant d’y arriver, j’ai passé un an au lycée Georges Brassens recrutée par Laurence ici présente qui est devenue mon amie. J’y ai connu Noëlle Vilatte qui était proviseure adjoint et aussi trésorière au CRAP. Elle a pensé à moi lorsqu’il a fallu remplacer Marcia qui partait en congé maternité. Je devais y rester quelques mois et vingt ans plus tard je suis toujours là. Il s’en est passé des choses en 20 ans ! Je ne peux pas tout vous raconter car ça prendrait trop de temps. J’ai quand même des images qui me reviennent, Michèle qui était présidente quand j’ai commencé, 20 ans plus tard, je suis toujours épatée par son énergie. Je ne peux pas citer tout le monde, mais je suis fière de travailler avec Jean-Michel, Florence, Françoise, Nicole, Michèle, Michel, Philippe, Sylvie, Nicole, tous les membres du bureau, du CA, les correspondants, les organisateurs des Rencontres...
Puis il y a eu Christine, Patrice, nos redacs chefs, beaucoup de travail mais toujours dans la bonne humeur, il y a parfois eu des moments moins faciles mais on ne garde que le meilleur … et même si l’on sait qu’ils ne restent pas, c’est toujours une déchirure, alors on se dit qu’on ne s’attachera pas aux suivants, mais c’est déjà trop tard, on s’est déjà attaché à Cécile et Pierric. J’ai une chance énorme d’être au CRAP. J’y ai rencontré des personnes formidables et un travail très intéressant et enrichissant qui a bien évolué ! Encore une fois je ne peux pas tous vous citer mais sachez que vous avez tous une place dans mon cœur.
J’y ai aussi rencontré une amie formidable qui me supporte depuis de nombreuses années, nous sommes maintenant un vieux couple, hein Fatou !
Je vais tout simplement vous dire merci, merci de votre confiance, de votre amitié… Merci à mes collègues, ma famille, mes amis. Je vais continuer et rester motivée encore au moins une dizaine d’années et être digne de votre confiance, merci aussi à Pascal, mon mari qui m’ecoute parler de mon travail, qui m’a aidé à essayer d’avoir confiance en moi.